L’Hôtel-Dieu de Poitiers

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Conférence sur l’histoire de l’Hôtel-Dieu de Poitiers, à l’occasion de la sortie de l’ouvrage de Gérard Simmat, édité par le CHU.

Animée par le Dr Gérard Simmat, praticien hospitalier de neurologie au Centre hospitalier Henri-Laborit, avec le concours de témoins ayant exercé sur le site.

Enregistrement

Après avoir proposé aux lecteurs l’histoire extraordinaire de l’hôpital Pasteur en 2011, le Centre hospitalier universitaire de Poitiers continue son devoir de mémoire en s’intéressant à la source même de son existence, l’Hôtel-Dieu, dans un nouvel ouvrage écrit par le Dr Gérard Simmat, neurologue au Centre hospitalier Henri-Laborit, et édité par le CHU.

« L’Hôtel-Dieu de Poitiers – L’hôtel Pinet : deux siècles de médecine » nous invite à découvrir l’histoire du grand hospice civil et militaire, installé, à la fin du XVIIIe siècle, dans le superbe Hôtel Pinet, qui accueille aujourd’hui la présidence de l’Université de Poitiers. Cet hospice deviendra un hôpital rural, puis le CHU que nous connaissons sur le site de la Milétrie. Cette histoire est étroitement liée à l’école de médecine, également marquée, pendant 175 ans, par la congrégation des Filles de la Sagesse, ou encore par la loi Debré de 1958 et les premiers médecins à temps plein. Le livre se nourrit de témoignages et documents fournis par 120 témoins, qui ont connu cet endroit et travaillé sur ce site.

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En vente dans les librairies de la Vienne. Prix public : 34 €.

Toutes les dates

2 décembre 2015
18 h 30 -> 20 h 30
 

2 Commentaires

  1. l’hôtel Dieu de POITIERS est cher à mon coeur et à mes souvenirs.En 1940 j’y arrivais en pleine nuit dans la même ambulance millitaire dans laquelle était mon père grièvement blessé des suite d’un bombardement sur les routes de l’exode,ma mère y avait été tuée.J’avais 12 ans.
    Ma soeur et moi sommes restés quelques quelque temps dans un service pour enfants perdus,mon père ayant disparut
    Je n’ai jamais oublié la prévenance du personnel pour les enfants que nous étions et dont le coeur était brisé

  2. Bonjour Madame Bauzou,

    Nous vous remercions pour votre précieux témoignage.

    Nous vous souhaitons une agréable journée,
    Bien cordialement.

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