Le réSeau des Professionnels du Numérique vous donne rendez-vous du lundi 4 au vendredi 8 décembre 2017, pour Les rencontres nationales du numérique.
À destination des professionnels de tous secteurs d’activités, aux professionnels du numérique, aux étudiants et à tous ceux qui s’intéressent à ces sujets, à l’innovation et à l’entreprenariat. Venez découvrir les tendances, les marchés et les technologies émergentes du numérique.
Une semaine, trois temps forts, des formats différents. Lundi, mardi et mercredi une programmation grand public sera proposée. Le jeudi constituera la journée principale des Rencontres nationales du numérique avec des ateliers, un showroom expérimental, une scène ouverte et une soirée French Tech. Enfin, la semaine se clôturera par une journée business meetings.
Mercredi 6 à partir de 14h, au CRIJ, 64 rue Gambetta pour des ateliers ludiques.
Cette animation a pour objectif d’exposer par le jeu, l’apprentissage à la programmation, il repose sur le logiciel libre « Scratch », plateforme permettant de s’initier au code de façon ludique. Réalise un jeu basé sur le célèbre « Space Invaders » des années 80. Découvre ce qu’est une variable, apprends à utiliser les boucles dans un programme et marque des points si une condition est remplie. Venez découvrir la création sonore à l’heure du numérique. À l’aide de l’ordinateur et de cartes électroniques, construisez votre propre instrument à partir de n’importe quel objet conducteur et composez votre musique. Ainsi vous pourrez faire chanter des bananes, transformer une boite à chaussure en boite à rythme… Laissez libre cours à votre imagination !
Jeudi 7 décembre – La robotique et les télécommunications
À sa manière, l’action d’un robot social peut être successivement passive, évocatrice, active ou réactive. Des performances artistiques aux applications dans le domaine des télécommunications, tous les aspects de ces robots, telles que les interconnexions sociales entre les machines et les humains et entre les machines via Internet sont en cours d’exploration. Comme ces machines semblent évoluer vers une plus grande complexité, leurs interfaces doivent constamment être simplifiées. Par ailleurs, celles-ci doivent aussi être adaptables puisqu’elles seront utilisées par différents usagers et pour différentes finalités. La facilité d’utilisation doit notamment tenir compte des différents niveaux de compréhension de ces utilisateurs. C’est pourquoi les interfaces doivent être aussi naturelles que possible, plus agréables, plus conviviales et plus facilement enseignables. L’interaction avec les machines est généralement complexe et présuppose qu’on ait lu un mode d’emploi à l’avance… C’est l’une des raisons pour laquelle on développe des robots anthropomorphiques, afin de conduire des recherches sur des manières de développer des relations plus intuitives avec certaines machines.