À la demande de la France et d’autres États membres, l’Union européenne a imposé en 2004 que tous les produits alimentaires contenant plus de 0,9% d’OGM ou de produits dérivés d’OGM soient étiquetés. Tout consommateur peut ainsi être informé et choisir ou non un produit génétiquement modifié.
Pour garantir ce choix, c’est tout un système d’identification et de traçabilité qui doit être organisé…
S’initier à l’utilisation du matériel de laboratoire et mettre en œuvre des techniques de biologie moléculaire : réaction de PCR et électrophorèse
Engager la discussion sur la sensibilité de la détection, les échanges entre opérateurs au sein d’une filière, les notions de seuil de tolérance et de présence fortuite d’OGM…
Les élèves travaillent sur des échantillons d’ADN provenant de grains de maïs OGM ou non.
Par une technique d’amplification, la PCR, ils étudient la présence éventuelle d’un gène étranger (Bt) qui confère au maïs (MON 810) une résistance à un insecte (pyrale).
L’analyse des amplifications par électrophorèse permettra de confirmer la présence ou non du transgène dans l’échantillon de maïs.
Structure et réplication de l’ADN
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