dimanche 2 juillet 2017

Informations et programme complet sur festival-bruisme.blogspot.fr et lieumultiple.org

Bruisme c’est reparti ! On reprend les mêmes, Jazz à Poitiers, Confort moderne et Lieu multiple, on secoue pour ce délicieux cocktail à base de musiques inclassables et d’envies débridées. Bruisme ça se vit, ça ne se consomme pas. C’est musiques libres à tous les étages… mais libres de quoi ? Libres de plaire ou de ne pas plaire. C’est déjà beaucoup. Liberté de parole, de ton, sans souci du qu’en-ouira-t-on. Le seul mot d’ordre est l’envie de faire découvrir aux oreilles curieuses des pratiques pas tout à fait pareilles. Cette envie de différence fait que l’équipe du Lieu multiple suit ces partenaires depuis plusieurs années et qu’à chaque fois de bonnes surprises sont au rendez-vous.

Festival organisé par Jazz à Poitiers en partenariat avec le Confort Moderne et le Lieu multiple, du 29 juin au 2 juillet.

Programme complet sur festival-bruisme.blogspot.fr et lieumultiple.org

 

LIEU MULTIPLE le 2 juillet 2017
16h  — Bruîtres
Chez Bruisme, y’a pas que les musiques qui sont libres, on fait aussi ce qu’on veut avec le goûter. Et à la place des sempiternelles douceurs sucrées du tea-time, on vous offre huîtres et vin blanc ! entrée libre
17h : 6,50€ / 3,50€ (BS)
Martin Messier – Field
technologie sensible
(Québec)
Martin Messier : champs électro-magnétiques, micros
On pourrait parler technique, champs électro-magnétiques, micro-contacts, patches… essayer d’expliquer ce qu’il fait et comment avec des plaques de plexi, des câbles et ce que génèrent les signaux qu’ils transmettent ou qu’ils captent. Mais on préfèrera parler de magie sonore, de chorégraphie électrique, d’un jeu d’ombres et lumières, de bruits et de silences. Fascinant ! 
Plus d’infos – Aperçu : Vimeo 
© Martin Messier
Pascal Niggenkemper
corps sonore (Allemagne)
Pascal Niggenkemper : contrebasse augmentée

Le tour de force de Pascal Niggenkemper, c’est de transformer la contrebasse à la fois en objet sonore et en être vivant. Lorsqu’il l’anime, il y a un corps à corps, un dialogue, une attirance charnelle qui fait que ce n’est plus seulement le musicien et son instrument, mais un prolongement de chacun dans l’autre. Une étreinte passionnée et troublante.
© Peter Gannushkin
 

 

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