Table ronde animée par Baptiste Regnery, avec Anne Dozières, directrice de Vigie-Nature, Muséum national d’histoire naturelle, Paris ; Michel Thebault, citoyen-participant à l’« Opération papillon » ; Claire Touchard, coordinatrice pédagogique CPIE Seuil du Poitou et Sylvie Houte, ingénieure d’études au Centre d’études biologiques de Chizé CNRS.
L’évaluation de l’état de santé de la biodiversité nécessite d’acquérir un grand nombre de données structurées dans l’espace et dans le temps. Pour aider les chercheurs dans l’acquisition de ces précieuses informations, il est possible de participer à des programmes de sciences participatives, au travers desquels le citoyen observe la faune et la flore, à l’aide de protocoles très simples, et fait remonter ses observations aux chercheurs. Au-delà de l’intérêt scientifique, les sciences participatives sont aussi pour le citoyen une occasion d’apprentissage, d’implication et de reconnexion à la nature. Cette table ronde présentera les différents intérêts des sciences participatives et passera en revue différents programmes auxquels tout un chacun peut participer, que ce soit dans son jardin, dans un jardin public ou un espace agricole.
Dans le cadre du festival Voix publiques, du 10 au 17 mars 2019, sur le thème « La nature ça se cultive ».
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