Résidence de création du 19 au 26 avril. Sortie de résidence le vendredi 26 avril à 18h30 au Planétarium.
Performance sonore, visuelle et numérique — Haïkus numériques naît de la rencontre entre un musicien et un artiste visuel. Après 2 collaborations en collectif Ale et Simon décident d’approfondir les liens d’amitié entre leurs ordinateurs. Il s’agit d’une série de plusieurs performances courtes qui contiennent des juxtapositions et des liens inattendus. À la façon d’un haïku, les performances sont poétiques, incisives, drôles. Les deux artistes sont au plateau, et gèrent tout par leurs ordinateurs inter-connectés. Musique et image se construisent ainsi dans un dialogue permanent et actif, sans s’illustrer l’une l’autre, mais en formant une seule entité.
La première date de présentation de HAÏKUS NUMÉRIQUES est prévue le 18 juin à 19h à Emmetrop, Bourges.
En partenariat avec la Scène Nationale d’Orléans, Folie numérique (Paris), Astrolabe SMAC d’Orléans Saint-Ex, cult. numérique (Reims), Emmetrop (Bourges), La Méandre (Chalon s/ Saône), Abbaye de Noirlac (Cher) et le Lieu multiple (Poitiers).
Ale
conception, écriture, vidéo, lumière
installations visuelles et numériques
Sim
composition, écriture, sax
musique assistée par ordinateur
machines, percussions
conception scénographie et/ou solutions techniques
Benjamin Cadon, Nicolas Franchot
Luca Murgolo & Gian Paolo Vuillermin
Julien Millot & Gaziel, Camille Legriffon
production
Labomedia, Cie Petite Nature
durée variable selon nombre de perf., entre 15 minutes et 1h30
création 2019
partenaires
DRAC Centre, Région Centre VdL, CD Eure-et-Loir
L’Astrolabe SMAC d’Orléans, Abbaye de Noirlac (Cher)
Scène Nationale d’Orléans, Lieu Multiple (Poitiers )
Emmetrop (Bourges), Folie numérique (Paris)
Saint-Ex, cult. numérique (Reims)
La Méandre (Chalon s/ Saône)
haïku numérique = performance musicale et visuelle
(entre 1 et 15 minutes)
inspirée par la forme poétique japonaise traditionnelle des haïkus.
Comme un haïku, un haïku numérique
1) se développe en 3 images,
2) dresse une ode à l’impermanence de la vie par le biais de petites choses du quotidien,
3) contient des juxtapositions et des liens inattendus.
Haïkus numériques naît de la rencontre entre 1 musicien et 1 artiste visuel.
Après 2 collaborations
(Homme Machine, Petit Faucheux de Tours, 2016 et Volga, Scène Nationale d’Orléans, 2017)
Ale et Simon décident d’approfondir les liens d’amitié entre leurs ordinateurs.
Les 2 artistes sont au plateau, et gèrent tout par leurs ordinateurs inter-connectés.
A la façon d’un haïku, les performances sont poétiques, incisives, drôles.
Musique et image se construisent ainsi dans un dialogue permanent et actif,
sans s’illustrer l’une l’autre, mais en formant une seule entité.
Quelques règles :
Structure en 3 phrases
(= 3 images + 3 univers musicaux) avec une rupture.
Dire et célébrer l’évanescence des choses.
Chaque action de l’un entraîne une réaction (informatique) de l’autre.