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La science contre le crime ? Naissance, espoirs et illusions de la police technique et scientifique

jeudi 16 octobre 2008

Conférence de Jean-Marc Berlière, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Bourgogne, chercheur au CESDIP (CNRS / ministère de la Justice). Il est spécialiste de l’histoire de l’institution et la société policières en France (XIXe et XXe siècles) et notamment de leurs places dans l’État, de leurs rapports au politique et à la société.

L’obsession de la récidive et la nécessité de mettre au point un système d’identification efficace permettant de distinguer les « criminels d’habitude » sont à l’origine, à la fin du XIXe siècle, de la dactyloscopie (les « empreintes digitales ») et d’autres techniques qui constituent ce que l’on va appeler la « police scientifique ». Bertillon, considéré comme le père de cette science nouvelle — la « criminalistique » — est alors célébré à l’égal de Pasteur. L’un par ses découvertes (microbes, vaccination) semble promettre un monde sans maladie, l’autre — par l’identification de criminels que rien ne permettait de soupçonner — un monde sans crime. En dépit de quelques succès spectaculaires, la police technique et scientifique démontra rapidement ses limites, mais aussi sa part d’ombre…

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