Danse, harpe et lumière
Pandore est un prétexte, un appui, une source, un questionnement sur la nature de l’homme
Se frotter à l’inconnu, à l’autre, à sa peau, aux mots, à la poésie, à l’instant présent
À chaque fois que nous ouvrons la boite de Pandore, tous les maux de l’humanité s’échappent sauf l’espérance, la curiosité à fait place à la sagesse, la sagesse à la liberté
C’est à travers une performance, unique à chacune de ses représentations comme à chaque fois que nous ouvrons cette boite, une histoire différente se crée, interrogeant par la musique, les textes, la danse et la lumière, le phénomène de la mutation : mutation de la vie qui se frotte à la répétition qui n’en n’est jamais une, mutation qui se frotte à l’expérience, à l’expérimentation.
Il s’agit ici de peau, de poésie, de poésie mobile, qui s’écrit à l’intérieur de soi et sur la peau
À travers tatouages et plis, chaque vers possède le don de nous transformer nos vies, nos peaux, nos mots comme autant de palimpsestes.
Hélène Breschand : musique, harpe et voix / Odile Azagury : danse / Philippe Quillet : lumières
Dans le cadre du Festival Les Expressifs et en coproduction avec Poitiers Jeunes.