Table ronde avec Sébastien Caillault, maître de conférences en géographie, laboratoire ESO – CNRS, Institut Agro, Angers et Denis Gautier (en visio), géographe et directeur régional pour la Méditerranée, CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), spécialisé dans la gouvernance et la gestion des ressources naturelles renouvelables dans les régions tropicales semi-arides et arides, particulièrement en Afrique.
Rencontre animée par Philippe Venier, maître de conférences en géographie, laboratoire Migrinter – CNRS, université de Poitiers.
Face au réchauffement climatique, il est urgent de se libérer des énergies fossiles, de décarboner notre économie-monde, de passer à une transition écologique à l’échelle planétaire. Mais ce changement nécessaire préserve-t-il réellement l’environnement ? Dans certains pays du Sud, riches en ressources minières, on assiste à un accroissement sans précédent de l’extractivisme… Dans d’autres, dotés de vastes espaces forestiers, leur entrée sur le marché mondial du carbone modifie l’équilibre socio-économique des populations locales… Qu’en est-il des coûts environnementaux et sociaux dans ces pays ?
Dans le cadre de Mutations du monde, organisé avec Régis Barraud, maître de conférences en géographie, laboratoire Mimmoc ; Nicolas Bech, maître de conférences en biologie, laboratoire Écologie et biologie des interactions ; Philippe Venier, maître de conférences en géographie, laboratoire Migrinter – CNRS, université de Poitiers.