Goutte de sang, de salive ou racine de cheveux : l’ADN de quelques cellules suffit à établir la carte d’identité génétique d’un individu.
Sorte de « code-barres » propre à chacun, ce profil permet d’identifier une victime, d’inculper… ou de disculper un individu.
Mademoiselle Rose ou Colonel Moutarde ? À vous de jouer…
Atelier de l’École de l’ADN en Nouvelle-Aquitaine.